Description

Le dispositif des épisodes de pics de pollution par limitation de vitesses à 70 km/h sur les grands axes routiers ne diminue pas la pollution, comme l'expérience de la baisse de 90 à 70km/h sur la rocade de Rennes l'a montré il y a 3 ans. Avec le progrès technique, la vitesse où il y a le moins de pollution augmente : vers 80km/h ou 90km/h. Il faut donc supprimer ce dispositif contre productif pour réduire la pollution.

Pages 80 et 85 la réduction de l’exposition de la population aux PM demande d’agir, en complément, sur les volumes de trafic de véhicules particuliers ; cela a un coût social et économique importants. Auparavant, les bus de l'agglomération devront faire l'objet des mêmes réductions, car ils circulent généralement avec un taux d'occupation encore plus bas que les voitures étant ainsi plus généralement plus bruyants, polluants et énergivore par personne transportée que les voitures.

Je demande qu'un bilan socio économique de ces actions soit chiffré et communiqué au public, dès enquête publique et avant décision, et qu'un bilan socio économique sincère de la zone interdite à presque tous les automobilistes au centre de Grenoble (CVCM) soit établi.

Je demande que soit étudiés les avantages et inconvénients des aides moins coûteuses par adaptation de dispositifs antipollution sur les véhicules anciens (fréquemment utilisées en Allemagne).

Je demande que les mesures anti pollution des transports routiers soient étendues aux motrices des trains diesels de marchandises ou voyageurs entrant dans la ZCR (sans exclusion) dont les souvent anciennes sont certainement des milliers de fois plus polluantes qu'un camion récent.

Je demande que soit étudiée la possibilité d'ajouter un wagon de queue à certains trains , où seraient placés les colis et courriers.