Si l'on abandonne l’idée d’interdire les véhicules les plus anciens, il n’y a plus de raison de financer les changements ou pire les transformations de véhicule, ni les moyens de contrôle, de recouvrement des amendes… Ce serait des dépenses dont les effets positifs ne durent que quelques années.
Investissons plutôt dans les infrastructures : trams, pistes cyclables, sécurisation des vélos, points de recharge de proximité pour permettre de passer massivement à l’électrique…
De toute façon, le renouvellement « naturel » du parc automobile va continuer à amener, mécaniquement, à une réduction des émissions de polluants. Le plus efficace, c’est lorsque l’on n’utilise pas la voiture, mais « les déplacements doux ». D’où la nécessité de continuer à investir fortement dans les solutions alternatives.