Au-delà de la vignette crit-air apposé sur son par-brise un véhicule motorisé voie ses rejets de polluant largement influencés par ses conditions de circulation et notamment la fluidité du trafique dans lequel il évolue. Chaque deux-roues remplaçant une voiture contribue, grâce à son encombrement réduit, a améliorer la fluidité du trafique. L'ampli des deux-roues a ainsi un impacte positif sur les émissions des autres véhicule circulants dans l’agglomération, et ceux quelque soit leur année de fabrication.

L'effet de report d'une voiture vers un deux-roues cité dans la question n'est donc pas à craindre mais au contraire souhaitable.

Appliquer les mêmes règles aux deux-roues et aux voitures revient à refuser de reconnaitre l'avantage que représentent des deux-roues dans des environnement de circulation dense tel que l’agglomération. Avantage dont la classification crit'air ne rend malheureusement absolument pas compte.